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Copyright Photo: Capucine de Chocqueuse
ENGLISH
“The title role of Violetta is performed by soprano Déborah Salazar. She presents an expressive voice in this arduous vocal part, with a very appreciable range of range. Her warm and clear timbre is beautifully vibrated at times and she holds the room thanks to a moving stage performance, portraying a sparkling but assertive Violetta. (...) The trio exudes vocal and stage alchemy which strongly contributes to the credibility of this audacious project. » Olyrix
“The performers are up to the challenge. Déborah Salazar is a young and determined Violetta Valéry as comfortable in lightness as in drama » Première Loge
“Déborah Salazar thus further highlights a certain casualness behind which hides a fragility not always free from stereotypes, offset by the roundness and warmth of her soprano who carry the sincerity of feelings, even in the evanescence of the song in the spoken word. » Classicagenda
"Her sister, Clarice, is entrusted to Déborah Salazar-Sanfeld. Her “Son fanciulla da marito” was promising. The following aria “Quanta gente che sospira”, but especially her final duet with Ecclitico delight us."
Forum Opera - Yvan Beuvard
"Déborah Salazar, a soprano who is still at the beginning of her career but who already has a well-positioned voice, with pleasant colors and a careful singing line (very beautiful “Quanta gente che sospira” in the second act!) "
Première Loge - Stéphane Lelièvre
“Clarice, little tested by Haydn, suits very well the beautifully conducted voice of Déborah Salazar.”Diapason - Didier Van Moere
“Déborah Salazar (Clarice) showcases a full-bodied voice that rivals flexibility and ease.”Contertonet - Emmanuel Andrieu
Déborah Salazar is a fitting Gretel as a little sister tormented by her brother, but with sparkling candor. Her soprano voice is lustrous by a clear and vibrant timbre, carried by easy projection and which blossoms with roundness in the highest register.
Pierre Géraudie for Olyrix
“Among the secondary female roles, soprano Déborah Salazar is a Countess Ceprano with silky high notes.”
Olyrix
“the young singer already demonstrates a beautiful art of threaded sounds and that of the diminundi, with a supple voice and a pleasant timbre. The excellence of the diction, in the second aria, and above all vocalizations as lively as they are brilliant, earned him loud applause from the audience”
Emmanuel Andrieu for OperaOnline
"With his first piece "Vaga Luna" by Bellini, a pleasant, homogeneous voice with a generous timbre gradually takes its place in the auditorium. Equipped with warm midrange and rich in harmonies, the lines seem easy and do not give off any apparent difficulty. She continues with the great lyrical dramatic tunes, stepping out of her comfort zone, she applies great vocal rigor throughout the concert and demonstrates good potential, soaking up the music, the vocal nuances seem to be her primary asset. allow him to enhance the long sentences as well as the movements. The legato is very well executed and sustained.
The “staccato” (sharp) high notes during the madness scene of Lucia di Lammermoor (Donizetti) have the effectiveness of a concentrated, short and timbre sound. As for the bass, it is resonant and vibrant. As an encore, she returns to the classical repertoire with the tender aria of Susanna ("Deh vieni non tardar") in The Marriage of Figaro (Mozart) where her simple and unadorned interpretation is based on refined and charming pianissimi ."
Olyrix
“Déborah Salazar is a wonderfully classy Kate who, by her mere presence, exacerbates Cio Cio San’s suffering”
Philippe Manoli for Concertonet
“We had to measure up to the bite of the French soprano Deborah Salazar, the register of a stunning seduction which literally illuminates her character from the height of her twenty-two springs.”Roland Duclos for Forum Opera
The afternoon session allowed us to discover Deborah Salazar, as ravishing as she was young, who audaciously opened her performance with “A Cupidon” by Milhaud – a melody on the limits of atonality, suspended in the treble, revealing in passing an almost supernatural high pitch… The tune of Linda de Chamonix (Donizetti) appeared almost “easier”, the whole attesting to her gifts (voice, personality, musicality).Martine D. Mergeay for La Libre (Belgium)
FRANCAIS
« Le rôle-titre de Violetta est interprété par la soprano Déborah Salazar. Elle présente une voix expressive dans cette partie vocale ardue, avec une amplitude de tessiture très appréciable. Son timbre chaleureux et clair est joliment vibré par instants et elle tient la pièce grâce à une interprétation scénique émouvante, dessinant une Violetta pétillante mais affirmée. (...) Le trio dégage une alchimie vocale et scénique qui contribue fortement à la crédibilité de ce projet audacieux. » Olyrix
« Les interprètes sont à la hauteur de l’enjeu. Déborah Salazar est une Violetta Valéry jeune et volontaire aussi à l’aise dans la légèreté que dans le drame » Première Loge
« Déborah Salazar met ainsi davantage en avant une certaine désinvolture derrière laquelle se cache une fragilité pas toujours exempte de stéréotypes, compensés par la rondeur et la chaleur de son soprano qui portent la sincérité des sentiments, jusque dans l’évanescence du chant dans le parlé » Classicagenda
"Sa sœur, Clarice, est confiée à Déborah Salazar-Sanfeld. Son « Son fanciulla da marito » était prometteur. L’aria suivant « Quanta gente che sospira », mais surtout son ultime duo avec Ecclitico nous ravissent."
Forum opéra - Yvan Beuvard
"Déborah Salazar, une soprano qui est encore à l’orée de sa carrière mais qui fait déjà entendre une voix bien posée, aux couleurs agréables, à la ligne de chant soignée (très beau « Quanta gente che sospira » au deuxième acte !). "
Première loge - Stéphane Lelièvre
"Clarice peu éprouvée par Haydn, convient très bien à la voix joliment conduite de Déborah Salazar. "
Diapason - Didier Van Moere
"Déborah Salazar (Clarice) fait valoir une voix bien corsée qui rivalise de souplesse et de facilité."
Contertonet - Emmanuel Andrieu
Déborah Salazar est de son côté une Gretel seyante en petite sœur tourmentée par son frangin, mais à la candeur pétillante. Sa voix de soprano est lustrée par un timbre clair et vibré, portée par une projection aisée et qui s’épanouit avec rondeur dans le registre le plus aigu”
Pierre Géraudie pour Olyrix
"Chez les rôles secondaires féminins, la soprano Déborah Salazar est une Comtesse Ceprano aux aigus soyeux."
Olyrix
«la jeune cantatrice fait déjà preuve d’un bel art des sons filés et de celui des diminuendi, avec une voix souple et un timbre agréable. L’excellence de la diction, dans le deuxième air, et surtout des vocalises aussi vivantes que brillantes, lui valent des applaudissements nourris de la part du public »
Emmanuel Andrieu pour OperaOnline
"Avec son premier morceau "Vaga Luna" de Bellini, une plaisante voix homogène au timbre généreux prend progressivement sa place au sein de l’auditorium. Dotées de médiums chaleureux et riches en harmonies, les lignes semblent faciles et ne dégagent aucune difficulté apparente. Elle poursuit sur les grands airs lyriques dramatiques. Sortant de sa zone de confort, elle applique une grande rigueur vocale sur l’ensemble du concert et démontre un bon potentiel. S’imprégnant de la musique, les nuances vocales semblent être son atout premier et lui permettent de valoriser les longues phrases ainsi que les tenues. Le legato est fort bien exécuté et soutenu.
Les aigus en "staccato" (piqués) lors de la scène de la folie de Lucia di Lammermoor (Donizetti) ont l'efficacité d'un son concentré, court et timbré. Quant aux graves, ceux-ci sont résonnants et vibrants. En guise de bis, elle revient sur le répertoire classique avec le tendre air de Susanna ("Deh vieni non tardar") dans Les Noces de Figaro (Mozart) où son interprétation simple et sans artifices, s'appuie sur des pianissimi raffinés et charmants."
Olyrix
"Déborah Salazar est une Kate d’une formidable classe qui, par sa seule présence, exacerbe la souffrance de Cio Cio San"
Philippe Manoli pour Concertonet
La séance de l’après-midi permit de découvrir Deborah Salazar, aussi ravissante que jeune, qui ouvrit audacieusement sa prestation avec « A Cupidon » de Milhaud – une mélodie aux limites de l’atonalité, suspendue dans l’aigu faisant découvrir au passage un suraigu quasi surnaturel… L’air de Linda de Chamonix (Donizetti) en apparut presque plus « facile », l’ensemble attestant de ses dons (voix, personnalité, musicalité).
Martine D. Mergeay pour La Libre (Belgique)
"Il fallait se mesurer au mordant de la soprano française Deborah Salazar, au registre d'une étourdissante séduction qui illumine littéralement son personnage du haut de ses vingt-deux printemps."
Roland Duclos pour Forum Opera